Pas encore « fiu » de Tahiti !
Tahiti est attachante. Une côte de sable blanc, une autre de sable gris, des villes, villages et des montagnes vertes et escarpées. Je viens de quitter l’île et je n’en l’aime que davantage.
Tahiti est attachante. Une côte de sable blanc, une autre de sable gris, des villes, villages et des montagnes vertes et escarpées. Je viens de quitter l’île et je n’en l’aime que davantage.
L’atoll de Rangiroa, en Polynésie française, est l’une des Mecque de la plongée. Je ne suis pas de celles qui aiment respirer par la bouche dans un détendeur (argh !), mais je l’ai fait (et sans mourir, figurez-vous !)
Dans la petite île de Maupiti, en Polynésie française, on est comme dans une carte postale. Cocotiers, sable blanc, montagne verte… Et les bleus du lagon… L’île et ses habitants sont accueillants, sans chichis.
Surprise ! Des vaches, des prés, des arbres… C’est comme un coin de Normandie à Tahiti, mais où la température est nettement plus chaude. Un lieu étonnant au beau milieu du Pacifique. (suite…)
Un grand port, des embouteillages, des portions énormes dans les restos, du soleil, des paquebots, un front de mer peu sexy, un marché vivant… Je suis à Papeete, à Tahiti. (suite…)
Pemuteran, à l’extrêmité nord ouest de Bali : j’aime. Les gens accueillants, la plage près des coraux électriques, la vue du haut du temple dans la montagne, mon hôtel…
Escapade à Koh Phi Phi, en Thaïlande. Ma copine de voyage est plongeuse. Elle me pousse à aller voir ce qui se passe sous l’eau. Mais, moi je sais bien que je ne sais pas respirer par la bouche !
Le Cap-Vert. Je savais que ce pays d’îles au large du Sénégal souffrait de sécheresse… N’empêche, ce nom verdoyant s’impose dans l’imaginaire. L’aridité des paysages m’a un peu surprise !